
Sans projet de réconciliation nationale en Irak, il n'y aura pas de sécurité, estime l'ancien envoyé spécial de la Ligue arabe dans ce pays, Mokhtar Lamani. Dans une entrevue à La Presse, ce chercheur au Centre pour l'innovation dans la gouvernance internationale de Waterloo en Ontario s'est dit déçu à la fois des politiciens irakiens au pouvoir et de l'administration américaine de Barack Obama.
Q Qu'est-ce que ces attentats meurtriers nous révèlent sur la situation actuelle en Irak, alors que l'armée américaine vient de se retirer des villes du pays?
R Il y a trois questions pour moi inséparables. On ne peut...